Pour la petite histoire, j'ai commencé à fumer régulièrement, vers la fin des années 70 et ceci a duré 13 ans avec 1 à 2 paquets/jour, avant que je prenne la décision d'arrêter.
Effectivement, j'avais déjà réussi à arrêter de fumer une première fois, dans les années 90, avec de la volonté et en consommant certaines "horreurs" qu'on trouvait à la pharmacie (à sucer ou machouiller et à fumer) J'étais fière d'avoir réussi à arrêter de fumer, grâce à beaucoup de volonté. Durant environ 8 années, je n'ai plus consommé de nicotine. Par contre, suite à cet arrêt de la "tueuse", j'avais subit une prise de poids, avec tous les problèmes qu'engendre une surcharge pondérale (mal être avec "sous estime de soi", déprime, peine à se mouvoir aisément, essoufflements, etc.).
Un jour, j'ai accepté une cigarette qu'on m'offrait en me disant qu'une seule ne pourrait pas me tuer mais mon "cerveau" s'est souvenu de ce plaisir qui lui avait tant manqué, durant toutes ces années. C'est pourquoi, dès que l'occasion se présentait, j'acceptais les cigarettes qu'on m'offrait. Puis, j'ai fini par m'acheter un paquet et j'ai "replongé" assez rapidement, une cigarette en appelant une autre. En consommant de nouveau des "tueuses", j'ai eu la surprise de retrouver mon "poids de forme" au bout de quelques mois. Je suis repassé dans le "clan des fumeurs", pour environ 8 ans.
En mai 2008, j'ai découvert l'existence de la cigarette électronique et j'ai voulu tester. Ceci m'a "bluffée" car je suis passé d'un paquet de "tueuses" par jour à 5-10/jour en peu de temps, sans trop d'effort . Finalement, j'ai décidé de me mettre au vapotage, pour en finir avec les "tueuses" mais pas uniquement. J'avais enfin l'opportunité de pouvoir conserver le plaisir que "fumer" procure, sans m'encrasser les poumons, sans bronchite à répétition, etc. J'avais enfin la possibilité de pourvoir arrêter le tabac tout en continuant à consommer de la nicotine qui a un effet coupe-faim, limitant les fringales donc une prise de poids. J'ai eu du mal à me faire à l'idée que je ne grossirais pas en vapotant uniquement. Aussi, j'ai continué à fumer en alternance avec le vapotage, ceci durant 9 mois.
Depuis fin janvier 2009, j'en ai fini avec le tabac, sans prise de poids importante. Il est incontestable que la nicotine a un effet "coupe-faim" et "anti-dépresseur". En devenant vapoteuse, j'ai retrouvé du goût et de l'odorat donc le plaisir de manger, en plus d'un meilleur souffle, d'une meilleure endurance, d'un meilleur teint, d'une meilleur haleine, etc.
En France, il y a un risque qu'un jour la nicotine ne doit plus être présente dans le e-liquide et dans les cartouches/cartomiseurs. La nicotine ne serait tolérée qu'un dosage à moins de 10mg (entre le NO et le LOW) donc autrement dire quasiment rien. Je crains que que mon avenir de vapoteuse satisfaite ne soit bien compromis.
Effectivement, j'avais déjà réussi à arrêter de fumer une première fois, dans les années 90, avec de la volonté et en consommant certaines "horreurs" qu'on trouvait à la pharmacie (à sucer ou machouiller et à fumer) J'étais fière d'avoir réussi à arrêter de fumer, grâce à beaucoup de volonté. Durant environ 8 années, je n'ai plus consommé de nicotine. Par contre, suite à cet arrêt de la "tueuse", j'avais subit une prise de poids, avec tous les problèmes qu'engendre une surcharge pondérale (mal être avec "sous estime de soi", déprime, peine à se mouvoir aisément, essoufflements, etc.).
Un jour, j'ai accepté une cigarette qu'on m'offrait en me disant qu'une seule ne pourrait pas me tuer mais mon "cerveau" s'est souvenu de ce plaisir qui lui avait tant manqué, durant toutes ces années. C'est pourquoi, dès que l'occasion se présentait, j'acceptais les cigarettes qu'on m'offrait. Puis, j'ai fini par m'acheter un paquet et j'ai "replongé" assez rapidement, une cigarette en appelant une autre. En consommant de nouveau des "tueuses", j'ai eu la surprise de retrouver mon "poids de forme" au bout de quelques mois. Je suis repassé dans le "clan des fumeurs", pour environ 8 ans.
En mai 2008, j'ai découvert l'existence de la cigarette électronique et j'ai voulu tester. Ceci m'a "bluffée" car je suis passé d'un paquet de "tueuses" par jour à 5-10/jour en peu de temps, sans trop d'effort . Finalement, j'ai décidé de me mettre au vapotage, pour en finir avec les "tueuses" mais pas uniquement. J'avais enfin l'opportunité de pouvoir conserver le plaisir que "fumer" procure, sans m'encrasser les poumons, sans bronchite à répétition, etc. J'avais enfin la possibilité de pourvoir arrêter le tabac tout en continuant à consommer de la nicotine qui a un effet coupe-faim, limitant les fringales donc une prise de poids. J'ai eu du mal à me faire à l'idée que je ne grossirais pas en vapotant uniquement. Aussi, j'ai continué à fumer en alternance avec le vapotage, ceci durant 9 mois.
Depuis fin janvier 2009, j'en ai fini avec le tabac, sans prise de poids importante. Il est incontestable que la nicotine a un effet "coupe-faim" et "anti-dépresseur". En devenant vapoteuse, j'ai retrouvé du goût et de l'odorat donc le plaisir de manger, en plus d'un meilleur souffle, d'une meilleure endurance, d'un meilleur teint, d'une meilleur haleine, etc.
En France, il y a un risque qu'un jour la nicotine ne doit plus être présente dans le e-liquide et dans les cartouches/cartomiseurs. La nicotine ne serait tolérée qu'un dosage à moins de 10mg (entre le NO et le LOW) donc autrement dire quasiment rien. Je crains que que mon avenir de vapoteuse satisfaite ne soit bien compromis.